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17 et 18 Avril: Katse

Ce matin, le ciel est davantage chargé de nuages.

Comme nous n'avons pas de 4x4, le gérant du lodge nous conseille de repasser par Maseru pour nous rendre à Katse.

Nous reprenons donc le même chemin qu'à l'aller....enfin, à peu près, car nous ratons la bonne sortie de rond point à l'entrée de Maseru et nous continuons trop loin.

Après une petite visite de la capitale (dont nous nous serions volontiers passées; il n'y a pas grand chose à voir et puis, à force de tourner, on ne savait plus trop où on était!), nous finissons par retrouver le bon chemin.

Une petite guérite (avec un garde et une barrière) nous signale l'entrée dans la "Bokong nature reserve".

La route serpente jusqu'au col de Mafika, à plus de 3000m. (la photo ci dessous est prise en cours de route, nous ne sommes pas allées au point de vue, au passage du col).

Puis nous redescendons tranquillement

Je suis un paragraphe. Cliquez ici pour ajouter votre propre texte et me modifier. C'est facile.

La route redescend ensuite tranquillement vers le barrage de Katse, offrant de beaux points de vue sur le lac de retenue.

Sur cette route, nous avons l'impression d'être dans un autre monde, un autre temps: nous traversons quelques rares villages et croisons régulièrement des bergers de tous âges, souvent avec des moutons, parfois avec quelques vaches ou quelques ânes.

Nous arrivons dans l'après-midi à l'unique hôtel de la région: il s'agit des baraquements utilisés par tout le personnel ayant travaillé à la construction du barrage.

L'ensemble est surprenant: un bâtiment principal (l'hôtel) et des tas de petites maisons (transformées en bungalows) alignées le long de courtes rues. Le tout est entouré d'un haut grillage et donne une bizarre impression (heureusement, on peut entrer et sortir comme on le souhaite!).

La partie hôtel est un peu vieillissante, très mal insonorisée ... mais la vue sur le lac est magnifique.

Nous profitons de la fin d'après-midi pour faire une petite promenade à pied: pas vraiment de sentier, on marche un peu au hasard. S'il est possible de sortir du "camp", peu de touristes doivent le faire car les habitants nous regardent d'un air mi-curieux mi-surpris mais sont prompts à répondre à un sourire ou à un "hello!"

Le ciel se couvre encore plus mais cela donne de belles couleurs à cette fin de journée.

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